jeudi 1 décembre 2011

Stockage inter saisonnier

Profitons de l’hiver pour réfléchir à un système économique de chauffage ou de pré chauffage. L’idée est de profiter de l’énergie gratuite, la chaleur du soleil, mais avec un décalage dans le temps. Divers systèmes existes. Celui que je souhaite mettre en œuvre se nomme le tunnel à galets.
Le principe est d’enfouir des galets sous la maison. Réchauffer cette masse à l’aide de capteur à air chaud à l’été. Enfin, restituer l’énergie stockée dans l’habitat pendant l’hiver. Cette énergie serait restituée avec un réseau de ventilation.
Les tunnels à galets ont déjà été mis en œuvre par des architectes mais le système n’est pas industrialisé. Sans doute à cause des contraintes de réalisation par rapport à ce que cela rapporterait aux professionnels du bâtiment.
Le pré requis consiste dimensionner les différents éléments correctement afin d’en optimiser le fonctionnement:

  • Choix et dimensionnement des capteurs à air chaud (serre, capteur en toiture…)
  • Dimensionnement de la masse de galets, des tunnels
  • Dimensionnement du réseau aéraulique (ventilateur, réseau de gaine…)
  • Étude de l’automatisation du système (bypass, interrupteurs différentiels...)
  • Coût de mise en œuvre
... au travail ...

samedi 26 novembre 2011

La librairie des compagnons du devoir

Si vous cherchez des ouvrages spécialisés sur des corps de métier du bâtiment moderne et ancien. Je vous conseille la librairie des compagnons du devoir. On y trouve des manuels très documentés, méthodiques, pratiques, orientés résultats. Ils sont assez cher mais utiles !
On y trouve également des publications thématiques (ex.: bâtir en chanvre...) mais elles sont vraiment cher pour ce qu'on en retient.

vendredi 25 novembre 2011

Mes potes du quartier des Fourneaux

J’ai oublié de vous présenter mes voisins. Ils habitent à côté, dans mon pré. Y a Charlotte, la chèvre. Je l’appelle Charlotte parce qu’elle a bouffé tous les fraisiers vers la fin du printemps, au mois de mai ! Elle s’est tirée du champ, s’est régalée des fraises et des fraisiers, elle a tout ravagé. Moi qui voulais manger des fraises fraîches à la pause déjeuné ! Je ne me suis pas démonté, j’ai acheté un sandwich et des fraises au supermarché du coin. Elle n’avait pas le même gout que celles du jardin, c’est sûr. Mais quelle saveur que la vengeance de les manger devant Charlotte entrain de me dire « mêêê… mêêê… ». Depuis, quand elle me voit, elle me lance des « bêêê… bêêê… ». Alors, je ne sais pas si elle se croit encore au mois de mai et qu’elle est enrhumée ou bien elle est rancunière…

C'est Charlotte.
Puis, y a Ron et Ronron… Les deux poneys. Ils sont timides. Il ne s’approche pas trop. Je les appelle ainsi parce qu’il tourne en rond… Ronron… ben, il fait des plus grands cercles que l’autre.



Et puis, y a les moutons qu'on pas de nom ! C'est pour l'Aïd.

jeudi 24 novembre 2011

Le CAUE

Le CAUE (Conseil d'Architecture d'Urbanisme et d'Environnement) est un organisme financé par une taxe liée au permis de construire. Un petit détour par les taxes, çà fait pas de mal :). Y en a trois au total pour le permis de construire. C'est bon à savoir. Elles se calculent en fonction de la surface déclarée SHON et trois taux définis par la région. Les formules de calcul ne sont pas les mêmes pour résidence secondaire ou principale. Elles sont à payer sur une échéance de deux ans... Y aurait tellement à dire sur les taxes que je préfère stopper là. Ca devient moins drôle au bout d'un moment. Pour rigoler, vous pouvez lire "Le possédé du percepteur" de Raymond DEVOS. Je crois que c'est le seul moment où entendre parler de taxe m'a fait rire.
Pour revenir au CAUE, j'ai rencontré un architecte à Tours passionné de réhabilitation et de respect de l'architecture ancienne et locale. Ca tombe plutôt bien, j'y suis allé dans cet état d'esprit. J'étais venu avec une multitude de questions sur la modification de charpente, les désordres dans les murs en moellons de tuffeau... et je suis reparti avec plus de réponses qu'attendues. Si vous réhabilitez une vieille bâtisse, n'hésitez surtout pas à les solliciter. De tout façon, vous payerez une taxe, autant en profiter.

Le lien:  Le C.A.U.E

La tuile !

La livraison des matériaux de toiture est arrivée. 18 tonnes de matériaux dont 18 palettes de tuiles plates de pays. De la St Foix à 51cts ttc l’unité chez Chausson matériaux. Je remercie Jean-Luc, Mickaël, Sébastien, Pierre et Paul. C’était vraiment sympa de m’aider pour réceptionner les 18 tonnes de matos…
Bon, je déconne… Les deux livreurs sont arrivés chacun dans leur camion munis d’un trans palette accroché au camion. J’étais seul… c’était presque trop ! Les livreurs ont joué 1h avec leur télécommande sans fil et c’était fini. Moi, j’le dis, un jour les livreurs seront tétraplégiques. Mes deux lascars n’étaient qu’avinés. Je les soupçonne de vouloir sauvegarder le patrimoine du vignoble Français. A tout le moins, Tourangeau. A coup sûr, ils se sont portés volontaire pour la livraison, passage du pressoir… Z'ont tilté les gus ! Hé les mecs, je n’ai même pas l’eau courante !
Bon, j'ai tout de même fait de la manutention jusqu’après la tombé de la nuit. J'ai terminé avec les feux du Scénic allumés et braqués sur le pressoir pour rentrer tous les bois.
Reste plus qu'un échafaudage et j'attaque la rénovation de la toiture en début d'année prochaine.

Bois de charpente, liteau et contre-liteau !

Les 18 palettes de tuiles

Le sous bassement

Avant l'hiver, j'avais une partie du sous bassement du mur Sud à restaurer. A l'aplomb, au niveau du coyau, il n'y a jamais eu de gouttière. La pluie tombante directement sur le sol, a rejailli sur le mur durant des années. L'enduit fait de sable et de chaux aérienne n'a pas résisté. Il s'est fortement endommagé et parfois décollé par morceau. Le mur a été conçu avec des moellons de tuffeau hourdés avec un mortier à base de terre. Celui-ci n'était plus protégé par la fonction première de l'enduit. Le mortier s'est désagrégé au cours du temps et la solidité du mur mise à l'épreuve. Ce qui eu pour effet de provoquer une fissure traversante, du haut en bas, dans le mur à la perpendiculaire, mur Est. De plus, le mur Est est flanqué d'un appentis, le sol n'est donc jamais humide de ce côté.
Sans gouttière d'un côté et la présence d'un appentis de l'autre implique donc un sol humide d'un côté et un sol sec de l'autre. Le phénomène de retrait de la terre argileuse, en fonction des saisons, a dû déstabiliser le sol à la jonction du mur Sud et Est. Ce qui, je pense, à provoquer un désordre dans le mur et fini par le fissurer.
L'urgence était donc de restaurer le sous bassement en injectant un coulis de chaux/sable dans les cavités et appliquer un nouvel enduit. La deuxième urgence sera d'installer une gouttière quand je restaurerai la couverture. Pour la fissure traversante de haut en bas dans le mur Est, j'ai posé des témoins. Des triples décimètres positionnés en quinconce sur des tasseaux de bois. Je ferai un relevé régulier pour constater l'évolution de la fissure. Si elle l'est, je carotterai le mur tous les mètres du haut en bas et j'injecterai un coulis de chaux/sable pour réparer. Si la fissure n'est pas stabilisée, c'est que j'ai fait un mauvais diagnostic. Et là, je suis dans la merde... :)
Selon Philippe, mon beau frère qui est trop fort puisqu'il a suivi l'école des compagnons du devoir, bien qu'il ne voulait jamais les faire, ses devoirs... :) Pas vrai, Philippe ? m'a dit que le problème devrait être réglé.
Lorsque j’ai humidifié le mur la veille, j’ai cru que je me faisais un bad trip façon maçon en fin de carrière. J’ai vu des noisettes et des noix sortir du mur ! La chaux, c’est de la poudre blanche en sac de 35kg ! J’en avais inhalé un peu le jour même pour le coulis de chaux mais quand même ! C’était de la NHL2 alors avec la NHL5… J’ai immédiatement appelé Philippe qui m’a rassuré. C’est juste des bestioles qui ont fait leur nid dans le mur qui m’a dit ! Merci Philippe.

Pour injecter le coulis de chaux/sable, je me suis fabriqué un truc très simple avec un entonnoir et un morceau de tuyau d'arrosage. Le coulis, c'est un volume de chaux NHL2 avec 1/5 de volume de sable 0/2, assez d'eau pour que ce soit liquide. Mélanger avec la perceuse munie d'un malaxeur, c'est prêt en 1 minute.

Pour restaurer l'enduit. J’ai humidifié le mur la veille. Puis, le jour même avec un pulvérisateur pour le jardinage. Ensuite, j'ai préparé un mortier chaux/sable. Un volume de chaux NHL2 avec trois volumes de sable 0/4. Pour la quantité d'eau, j'ai écouté Philippe, tonton super moustache, comme disent mes enfants. Il faut mettre l'enduit gâché sur une taloche, pas trop quand même, à partir du moment où il reste collé sur la taloche alors qu'on la retourne, c'est ok. S’il tombe ? ben, fait gaffe a tes pompes ! Je n'ai donc pas suivi la méthode très technique du livre "enduit à la chaux" de l'école d'Avignon qui prend en compte le taux de foisonnement du sable. Ah bon, vous voulez vraiment savoir ce qu'est le taux de foisonnement du sable ? Le livre est une référence.

Au p'tit matin, avant de commencer la maçonnerie.


La fissure en bas du mur, elle le traverse.

La fissure en haut du mur.



Le sous bassement mur Sud avant réfection

Comme çà sur toute la longueur du mur !
Un des témoins pour constater l'évolution de la fissure.

Vu du ciel

Y a pas de raison, moi aussi, je peux faire mon quartier vu du ciel ! Yann Arthus Bertrand n'a qu'a bien se tenir ! Inspection de la toiture. Conclusion: la couverture est à refaire. C'est nettement moins déprimant que les émissions de Yann, n'est-ce pas ?



C'était fin mai, grillé de partout !

Il n'était vraiment pas loin le champs de blé !

Ma superbe échelle de toit à roulette ! Vise un peu le mollet affuté !



Le côté Nord est bien abîmé, mais c'est juste la rive.

La faîtière est rectiligne.
 

Le terrassement, le bourdon des champs et l'embrasement

Fallait s'en douter, j'allais bien passer par l'étape de la pelle et la pioche. Une étape parmi temps d'autres à venir. J'attaque le terrassement de la plus grande pièce de 70m². Pour l'occasion, Rym m'a acheté un poste radio, c'est quand même plus sympa d'écouter la radio ou un p'tit coup de Dream Theather pour se motiver. De toutes les façons, je n'ai pas le choix pour le terrassement. Il me faut de la matière pour mes toilettes sèches aux gravats. En gros, j'ai mis trois jours cumulés pour venir à bout de la zone non sans mésaventure...
Le premier week-end, cagnard d'enfer, pas facile... surtout que les voisins avaient organisé un BBQ dominical gargantuesque. En fait, je crois qu'il ne m'ont pas vu de la journée... C'était assez difficile à comprendre... Je passais  régulièrement devant eux pour vider les brouettes de gravats, ils vidaient régulièrement leur verre généreusement remplis, ma brouette l'était aussi. On faisait des trucs à peu près similaires, on aurait pu se comprendre à un moment... Bon, c'est vrai, je n'ai pas fait de grands signes à la Robinson Crusoé... Je me suis finalement demandé si le soleil n'avait été trop généreux avec moi, avec ma raison... Les voisins n’étaient peut-être pas là. Je n'étais peut-être pas en train de bosser comme un âne...
Les mésaventures, c'était deux week-ends après. Je commence par la moins enflammée... J'avais bien remarqué des bourdons s'infiltrer dans le sol entre les carreaux de terre cuite. Les bourdons, çà pique pas ! J'ai toujours entendu çà. C'était sans compter qu'il existe plusieurs catégories de ces bestioles à ailes. Moi, j'ai toujours entendu dire que les bourdons, çà pollinisent leurs fleurs. A priori, cà ne parait pas hostile comme occupation. Sauf que quand on leur met un coup de pioche en travers la gueule, eh ben, y a un truc qui se passe entre l'agresseur et l'agressé ! Un intérêt particulier de l'agressé pour son agresseur ! Je ne dirais pas que c'est immédiatement fusionnel parce qu'on ne leur laisse pas le temps d'en arriver a ce degré d'intimité...
Ca commençait à "bourdonner" pas mal autour du nid à moitié détruit. Faut dire que j'étais en forme avec ce que je m'étais envoyé la veille chez Alex, j'aurai pu bosser pendant trois jours sans manger. Sans boire, çà aurait été limite mais sans manger, c'est sûr. Certains bourdons se posaient sur la pioche... donc l'agresseur. Si bien que ce dernier, à moitié envouté, réitérait ses attaques. Jusqu'au moment où, j'ai distingué un autre type de bourdon, plus petit. Comme on dit:"Plus c'est petit, plus c'est mignon... mais moins c'est con !". J'ai assez vite compris que j'allais me faire butiner sans pour autant m'être vêtu façon fleurs des champs. Résultat: 4 piqures et une bonne frayeur... Ben, y a Juliette qui se fout limite de ma gueule quand je lui dis que je regarde Arte ! J'aurai dû me faire une séance de rattrapage intensive en VOD sur les Apidae. Ouais, ben j'ai regardé depuis...
... J'ai pas fini... la seconde mésaventure... c'était le moment où, poursuivit par mes potes à z'ailes, je sortais en courant du bâtiment. Avant de commencer le terrassement, j'avais empilé un tas de bricoles à brûler, ce que j'ai fait ce jour en arrivant, j'ai mis le feu au tas...
Il avait fait chaud Avril/Mai, j'avais demandé à la locataire de mon champs de passer un coup de débroussailleuse autour du pressoir. Ce n'était pas trop entretenu et comme je lui prête le champ. Elle me rend service. Elle aurait pu ramasser l'herbe sèche dispersée çà et là pour donner aux moutons et aux poneys, qui au passage, passe un peu trop de temps à me regarder travailler. Arrêtez, çà devient compassionnel ! Elle n'avait donc rien ramassé. Et moi, j'ai pas vu qu'elle ne l'avait pas fait ! Du coup, en sortant du pressoir, j'ai cru que c'était opération terre brulée en Touraine ! Faut savoir que "l'herbe sèche dispersée çà et là" associée à une allumette qui sait ce que signifie "çà et là"..., inutile d'expliquer, çà cramait sur 100m²... C'est pas trop grave, quand y rien autour... quand y a rien ! Putain, y avait un champ de 10 hectares de blé blond et sec à moins cinq mètres ondoyant au grès du vent ! Sur l'instant, j'ai pas vraiment eu le temps de penser à la flamme de ma vie, la flamme du soldat inconnu... J'ai naturellement couru pendant 1h30 avec des seaux emplis d'eau de la citerne que j'avais installée quelques semaines auparavant.

Un gros big up à mes potes à z'ailes. Sans qui, le sort du blé, et le mien, aurait été voisin ! J'ai tout de même faillit appeler les pompiers ! C’était panique à bord !

Dire qu'il me reste 20 mètres cubes de foin dans le grenier..

Elle a de la gueule ma brouette ! La masse, elle déchire sa mère !













Ben, c'est du terrasement


Le champs de blé qu'a faillit cramer !

La citerne

Pas d'eau, pas de mortier. Pas de mortier, pas de maison. Ce constat approuvé par tous, j'ai acheté une citerne pour récupérer l'eau de pluie, 1000 litres, qu'on m'a livré sur place pour moins de 100€. Ca suffira pour le moment. J'ai installé une gouttière à l'arrache sur l'appentis, conçu un filtre à la pouzzolane avec du PVC et le tour est joué ! Reste plus qu’à attendre la pluie... Elle n'a pas tardé à venir. Pour le raccordement à l'eau de la ville, on verra plus tard lorsque je ferai tous les raccordements en même temps. L'eau de pluie, ce n'est pas l'idéal pour le mortier à base de chaux mais bon c'est toujours mieux que de gâcher le mortier avec les dents...


Du reste, elle est tellement pleine que je vais devoir la vider complément pour la surélever et y connecter un tuyau d'arrosage.

LA PORTE BORDEL !

Voilà, au pied du mur ! A l'évidence, rien ne ferme. Il reste une porte coulissante, celle du pressoir. Elle est en très mauvais état. Du coup, pour stocker les outils, je vais tomber l'ancienne porte et en fabriquer une autre. Direction Brico Dépôt pour acheter des planches... et le reste pour une porte flambante neuve... mais pas trop quand même...

L'ancienne porte
 
... me voilà en train d'assembler la porte sans trop de difficulté. Par contre, à un moment de l'assemblage je me dis qu'il faudrait que je pense à l'accrocher au rail, une porte de 10m² montée avec des planches de 25mm² d'épaisseur, çà doit peser le poids d'une dizaine de fût de bière !
Ben, il était temps que je me pose la question, j'suis pas loin des 70kg, je n'ai pas monté 1/3 des planches... J'entends siffler derrière moi... à priori, pas d'acouphène. Y a la voisine qui bronzait pas loin a côté de sa piscine en début d'aprèm, je sens que je vais avoir des clients pour m'aider là. Non, ce n'est pas elle non plus. C'est Alex qui tombe a pic pour faire un peu de muscu., après avoir fait un détour au bistrot du coin, échauffé par son déménagement, on place la porte sur le rail... çà roule nickel... reste plus qu'a finir l'assemblage, peindre, placer le système de fermeture et c'est plié. Depuis, çà roule toujours, j'ai tout de même fixé deux cornières en acier, en haut et en bas de la porte, pour éviter qu'elle gondole à l'hiver !

La porte finie
 
La porte peinte

Le permis de constuire

J'ai mis un p'tit bout de temps à peaufiner le PDC. Il m'a été refusé une première fois. Il n'y avait aucun problème sur le contenu. J'avais rencontré le maire de St Jean St Germain pour lui exposer mon projet. Aucun souci de ce côté. Le problème venait de la signature du maitre d’œuvre. Mon projet dépassait les 170m², il fallait la signature d'un architecte agréé DPLG. Le maître d’œuvre ne l'était pas.
J'ai refait un autre PDC avec moins de surface. Celui-ci m'a été rapidement accordé par la DDT puis par le maire.
Pour info., j'ai utilisé Sketchup pour les plans. Gratuit et suffisant pour mener à bien le PDC. Pour l'aménagement intérieur, qui n'est pas encore finalisé aujourd'hui, je remercie Malika, Alex et Dorothée pour leurs conseils sans oublier Nico mon conseiller spécial... mais vraiment très spécial, voir spatial pour certaines de ses idées auxquelles, je dois l'avouer, j'ai adhéré l'espace d'un moment où il faisait très chaud (Nico, désolé, j'ai abandonné la piscine à l'étage, les espaces vert... en rouge et j'en oublie).

Le plan de masse

L'insertion graphique

Le projet

Rym et moi avons pas mal cogité avant de nous lancer dans cette aventure... C'est du temps, de l'argent, quelques sacrifices... bref, un investissement dans tous les sens du terme. Mais c'est aussi une passion que de bricoler, restaurer, rénover... passion transmise au cours de mon enfance par mon tonton râleur.
L'envie et le plaisir de passer des week-ends et vacances à la campagne dans quelques années ne sont pas étranger à notre motivation. Bon, j'avoue que de vider la cave d'Alex est également motivant...
Pour revenir au projet, nous souhaitons y aménager quelques pièces de vie, des chambres... en somme, un endroit qui nous correspond et dans lequel nous nous sentirons au mieux.

mercredi 23 novembre 2011

Bienvenue

Bienvenue sur le blog de notre pressoir à vinasse...


... que nous allons transformer en maison pour nos vieux jours... ou très vieux jours... voir un jour... :)

(bon là, je suis à la bourre, çà fait un an que nous sommes proprio, je n'avais pas pensé au blog mais je vais rattraper le retard pour vous faire suivre l’avancement des travaux)

Le 37, ce n'est pas le décompte du nombre de jours qu'il reste pour finir les travaux, ni de semaines, ni de mois... ni d'année, c'est juste le numéro du département où nous avons acheté le pressoir: en Indre et Loire. Pourquoi l’Indre et Loire ? ben, pourquoi pas...

Plantons le décor. Y a 4 murs, un toit, pas d'eau, pas d'électricité... par contre, y a des toilettes sèches aux gravats, vue sur campagne... imprenable... Résumons, Y a tout à faire, je suis motivé. :)

Pour finir, ou commencer, je ne bosse pas en mode "Warrior". J'en remercie Alex et Juliette qui m'accueillent généreusement chez eux, à quelques km, pour le gîte et le couvert... (entre nous, très bonne adresse, je la recommande... en fait, non je la garde pour moi. Juliette prépare des p'tits plats a tomber par terre, je n'évoque même pas le contenu de la cave d'Alex).

Bon, comme on dit:"Au boulot..."